Cyberdépendance de type cyberrelation

Détails du cas client

Stéphanie priorise les cyberrelations, les interactions virtuelles. En une journée, elle ne parvient pas à passer plus de quinze minutes sans vérifier sa boîte de réception personnelle, son fil et ses messages dans les sites de réseaux sociaux… Elle passe plusieurs heures par jour simplement à envoyer des textos à certains amis ou connaissances. Lorsqu’elle se retrouve seule, que ce soit à la maison ou ailleurs, elle a le réflexe d’accéder aux sites de réseaux sociaux dont elle est membre et écrire à une connaissance, ou encore de commencer une communication par SMS. Si elle tente de passer deux-trois heures de suite sans Internet, sans textos, un sentiment de vide intérieur la gagne rapidement et elle se sent isolée. Depuis quelques semaines, sa relation avec son amoureux s’est affaiblie. L’homme lui a fait savoir qu’il était devenu insupportable pour lui de la voir mobile à la main. Il la trouve distante et, selon lui, elle favorise ses amitiés, ses relations en ligne, virtuelles plutôt que ses liens avec ses proches. Stéphanie ressent en effet un fossé se creuser entre ses proches et elle depuis quelque temps. À force de se focaliser sur des relations virtuelles, elle semble lentement perdre de vue ceux qui comptent le plus pour elle. Stéphanie consulte en hypnothérapie, car elle désire parvenir à se sentir capable de laisser de côté ses appareils et passer plusieurs heures sans interactions virtuelles. Elle a réalisé qu’elle n’aime pas se sentir attachée à ses appareils. Et cette frustration, ce vide qu’elle ressent quand elle est seule l’inquiète. Elle craint pour sa relation amoureuse et pour ses autres liens précieux, comme sa relation avec sa meilleure amie et celle avec ses parents. 

Voici une recommandation de scripts d’hypnose par l’Académie d’hypnose thérapeutique du Québec (AHTQ) pour accompagner, en hypnothérapie, un sujet présentant une difficulté similaire :